Nous nous sommes tous retrouvés en séance plénière pour partager l’avancée des différentes commissions.
Nous avons échangé avec l’ensemble des élus présents sauf la commission Mangeons mieux qui est partie au SIVU ; autour du défi sans écran. A savoir qui a pu le faire et qu’est-ce que cela leur a permis de faire d’autre ? De nombreux élus ont pu y participer avec leur classe et/ou avec leur famille. Ils étaient pour la plupart enjoués de l’avoir fait.
A la suite, de ce temps nous avons eu une présentation des photos de la concertation Bordeaux Lac Jallère.
Avant de partir en commission, nous avons échangé autour du projet de la commission « ensemble sauvons l’égalité », pour informer que la collecte s’organisera au sein des écoles des élus de cette commission.


Après un temps en séance plénière, les élus sont partis en groupe de travail par commission. Comme à chaque début de séance, nous avons pris 5 minutes pour revenir sur la séance précédente et ainsi permettre aux élus absents de faire le lien entre chaque temps de travail autour de notre projet.
Les élus se sont alors investis dans la création du quizz environnement ainsi que le jeu sur le tri sélectif qui sont tous deux finalisés. Chaque élu s’est réparti dans un groupe pour travailler spécifiquement un atelier, comme la création de l’affiche, la création des règles pour jouer et le support de l’atelier. Ils ont également réfléchi à la création d’un relais « Eco l’eau » pour aborder la question du gaspillage de l’eau sous forme de jeu. Toutefois, nous avons abordé avec eux la difficulté de sensibiliser les personnes au gaspillage de l’eau en jouant avec. Même si le jeu était d’effectuer un parcours sans renverser l’eau pour ne pas la gaspiller ! Après avoir échangé avec eux et en les accompagnant dans la compréhension des attendus « de la journée du JDD du 5 juin ». Nous les avons relancé sur leur idée de départ qui était la création du jeu de 7 familles autour de la sensibilisation des gestes du quotidien comme par exemple la famille des neutres, la famille des écolos ou encore la famille des pollueurs.




Nous avons commencé la séance par un petit jeu : « questions pour un choco » type « deviner c’est gagné ». L’idée étant de réinvestir tout le vocabulaire utilisé durant la création de notre projet et lors de nos séances (ex : sans-abri, bidonville, exclusion…). Cette séance fut très animée, bruyante surtout durant le jeu car cela a suscité des débats !
Dans un second temps nous avons continué l’organisation de la collecte comme par exemple se donner les dates de la collecte dans les écoles du 29/04 au 10/05. Pour des soucis de logistique seules les écoles des élus qui participent au projet pourront organiser cette dernière. Nous souhaitons également sur la prochaine séance du 15 mai se charger de la récolte, du tri et de la confection des boîtes. Nous avons également échangé une dernière fois sur la liste afin de modifier certaines choses comme par exemple : le fait de demander des bouteilles d’eau avec des verres ; lorsqu’il y a au sein de notre ville des fontaines donc nous nous sommes portés plutôt sur des gourdes, qui en plus sont plus pérenne dans le temps ! Après une relecture d’Harmonie Lecerf et nous-même ; nous l’avons validé.
Dans un troisième et dernier temps, nous avons écrit un message de mobilisation à la collecte ! Pour cela nous nous sommes regroupés par école. Au sein de notre commission, nous avons pu constater que seulement 2 groupes de 2 élus appartenaient à la même école tout le reste était un seul à représenter son école. Ce qui est chouette pour la collecte ! L’idée étant d’écrire un mot, illustré ou non, à l’attention de la direction de l’école ainsi que des parents d’élèves pour expliquer le projet et les mobiliser dans la collecte.




Cette séance, nous sommes allés au SIVU, la cuisine centrale de Bordeaux et Mérignac. En chemin, dans le bus, nous sommes revenus sur le défi sans écran : seule Marie l’a réussi à 100%, certains d’entre nous partiellement, d’autres ne l’ont pas du tout suivi. Léonard : « Heu…….bon j’avoue ! (rires) ».
Au SIVU, nous avons été accueillis par Elodie, la diététicienne, qui, pendant que 4 d’entre nous partaient visiter le site, nous a fait une présentation sur la gestion des déchets produits ici et sur la volonté du SIVU de réduire son impact environnemental. Nous avons d’abord fait un petit brainstorming (on notait nos idées sur des post-it) sur les sources de déchets possibles dans la cuisine centrale : les différents types de déchets alimentaires, des emballages, des déchets de préparation, de nettoyage et des déchets de services (comme les serviettes en papier).
Nous avons ensuite vu comment le SIVU valorisait une partie de ses déchets (153,54 T valorisés) en leur donnant une deuxième vie grâce à sa collaboration avec deux entreprises de traitements. Les biodéchets sont transformés en compost, les plastiques deviennent des granulés, les papiers/cartons de la pâte à papier, le verre de nouvelles bouteilles, le bois est transformé en palettes et certains déchets (métaux non-ferreux, déchets industriels banals, déchets électriques et électroniques) sont incinérés pour faire de l’énergie.
Le SIVU s’engage par ailleurs à privilégier les produits issus de l’agriculture biologiques et/ou locaux, à limiter l’utilisation d’aliments ultra-transformés, à être vigilant sur le choix des emballages (limiter ;e plastique, privilégier des emballages recyclés et réutilisables) ainsi qu’à prioriser les multi portions pour éviter le suremballage.
Lorsqu’Elodie a abordé la question des grammages des menus, nous sommes nombreux à l’avoir interpellé sur les portions insuffisantes, car nous estimons, à juste titre, qu’un enfant en CP ne mangeait pas autant qu’un CM2 (pour une même quantité servie, ce qui manque à certains est gaspillé par d’autres). Le SIVU travaille pour adapter les portions à faire. Concernant le gaspillage alimentaire, une partie de la nourriture non consommée est donnée à des associations caritatives comme la Banque Alimentaire et le Chainon Manquant, ou alors placée dans des frigos partagés. Nous avons également remonté des recettes à améliorer comme le houmous dont le goût ne nous convient pas. Elodie regrette que nous n’ayons pas pu, faute de temps, poursuivre notre collaboration entamée l’an dernier et espère vraiment que nous pourrons l’an prochain retravailler ensemble à l’amélioration du goût dans nos assiettes ! Nous avons enfin regardé les dernières avancées de notre jeu : Valentine a rajouté 3 rébus. Il y a encore des choses importantes à arrêter, il va falloir mettre les bouchées doubles à la prochaine séance, celle, juste avant la Fête du Jeu ! Avant de partir, nous avons reçu un petit pot de confiture produit dans la région ainsi qu’un super crayon à papier : son extrémité contient des graines et lorsqu’on ne souhaitera plus l’utiliser, il suffit de le planter, les graines pousseront et produiront…. Bah ça, il faut planter le crayon pour le savoir !

Nous avons débuté la séance par une information concernant l’avancée du projet Allophone et de l’arrivée des affiches géantes dans les écoles ! Nous avons pu visionner les affiches grâce aux photos de Titouan… Nous étions contents de voir ce projet se concrétiser.
Puis nous avons commencé la création de notre projet vidéo contre le harcèlement. Nous avons échangé pour une prise de décision de l’organisation de la commission sur la création des storyboards. Les élus ont décidé de créer 3 scènes différentes et de travailler ces scènes en petit groupe de 4. Nous avions 4 absents donc nous avons proposé à la commission de créer avec Maïtena une 3ème scène complémentaire afin d’avoir une base de proposition pour les 4 absents à la prochaine séance. Les 2 groupes se sont constitués rapidement après leur avoir demandé d’assurer la mixité dans les groupes… Les fiches de storyboards leur ont été données afin qu’ils dessinent les différents plans de la scène et qu’ils écrivent en dessous les informations nécessaires à la réalisation mais aussi les dialogues. Nous avons accompagné avec Maïtena leurs échanges et leur méthodologie de création. A la fin de la séance nous avons déterminé ensemble le cadre de situation de la 3ème scène afin qu’ils soient d’accord mais aussi de proposer des scènes différentes avec des interventions diverses qui font comprendre le large panel d’actions du harcèlement.
Nous avons également retenus des slogans accrocheurs pour finaliser nos scènes comme par exemple « Tout le monde est comme il est, Personne ne mérite d’être harcelé. En cas de besoin Appelle le 30 20 ». « Chacun ses peurs, Halte aux harceleurs. En cas de besoin Appelle le 30 20 ».
Avant de nous quitter nous avons échangé et décidé d’une liste d’accessoires nécessaires pour le tournage comme par exemple 1 lit (matelas mais aussi lit infirmerie), des béquilles, 1 ballon de basket, un panier de basket, 1 banc, 1 perruque rousse, 2 pots de fleurs assez grands pour mettre de chaque côté du banc, des chaises, 1 bureau de directrice…. Ainsi qu’un lieu comme par exemple une école !



